Baronnies en Drôme Provençale /
Pays du Buis-les-Baronnies
http://www.cc-bdp.fr/



La Communauté de Communes du  Pays du Buis-les-Baronnies a été créée le 6 décembre 1999. avec 21 communes du canton de Rémuzat.


Le 1er janvier 2017, elle a fusionnée avec les communauté de communes des Hautes Baronnies, du Pays de Rémuzat et du Val d'Eygues pour devenir la communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale. 
Buis-les-Baronnies (2 302 h)

(av. 1914) D'argent au buis de sinople, au dauphin la queue levée d'azur brochant sur le tout.
D'une manière générale, à partir du XIe siècle, les villages des Baronnies dépendent de la baronnie de Mévouillon et de la baronnie de Montauban.
1178 : les seigneurs de Mévouillon sont les vassaux directs de l'empereur Frédéric Barberousse.
Le Buis est la capitale de la baronnie de Mévouillon.
1293: Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie au Dauphin de Viennois
1295:  le domaine de Montauban est cédé au Dauphin par Hugues Adhémar, héritier de Roncelin de Lunel[
1317 : Les Baronnies passent définitivement sous le contrôle des Dauphins. La ville avait alors 3 500 habitants ce qui, pour l'époque, représente une grande cité.
1349 : Le Dauphiné est vendu au royaume de France.

d'argent au dauphin d'azur brochant sur une branche de buis de sinople
donné par le service archive de la mairie en 2013
La Roche-sur-le-Buis (288 h)

Pas d'emblème pour le village.
Pierrelongue (217 h)
Pas d'emblème pour le village.

Aux XIIe et XIIIe siècles, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait l’église, dont elle percevait les revenus
Saint-Auban-sur-l'Ouvèze (213 h)

http://saint-auban-sur-ouveze.fr/
Pas d'emblème pour le village.

Saint-Auban était fief des Montauban, possession des Adhémar au XIVe siècle. 
Mérindol-les-Oliviers (236 h)

http://www.merindol-les-oliviers.fr/

De gueules à l'hirondelle en vol d'argent..
L'église est mentionnée en 1120 et en 1170 comme appartenant à l'abbaye Saint-Philibert de Tournus. Au XIVe siècle, elle est endommagée par des bandes de routiers, puis à nouveau lors des guerres de Religion et encore à la Révolution. Abandonnée, elle est sauvée en 1867 par le curé du village qui y transfère le culte.
Plaisians (199 h)
Pas d'emblème pour le village.
Saint-Sauveur-Gouvernet (182 h)


De gueules au cerf ailé élancé d'or.
Le château de Gouvernet a été rendu célèbre par René de La Tour qui y naquit en 1543 et en devint le seigneur. Il prit, sous le nom de Gouvernet, une part active aux guerres religieuses qui, pendant un demi-siècle ensanglantèrent le Dauphiné. On l’a surnommé l’« Ajax protestant ». Henri IV lui donna, avec le titre de conseiller d’État, une pension de dix mille livres et Louis XIII le fit marquis de la Charce. Il devint gouverneur de Mévouillon, Die, Nyons et Montélimar.
Beauvoisin (145 h)
Pas d'emblème pour le village. Vestiges de tour circulaire et de muraille de l'ancien château médiéval fortifié au XVIe siècle
Vercoiran (141 h)

Pas d'emblème pour le village. Vercoiran est un ancien village composé de hameaux et de fermes réparties sur les deux rives de l’Ouvèze
Propiac (131 h)

http://www.propiac.com/Accueil.html
Pas d'emblème pour le village. Au Moyen Âge, terre des barons de Montauban, Propiac est réputé pour ses sources thermales depuis ... l'Antiquité. D'ailleurs, Propiac viendrait de “propita aquae”, eau propice, en latin.
La station thermale fut surtout prospère à la fin du19ème siècle: on y soignait les troubles du métabolisme, l'obésité, et les maladies de l'appareil digestif.
Aujourd'hui, Propiac-les-bains n'est plus qu'un minuscule village encore agricole, entouré de champs de vignes, et surtout connu des amoureux de la nature sauvage et de la tranquillité absolue.

La Penne-sur-l'Ouvèze (96 h)

Pas d'emblème pour le village.  Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait une église et le prieuré Notre-Dame-des-Aspirants2. À la même époque le territoire, portant le nom de « Castrum de Penna » était protégé par un château fortifié. Celui-ci fut le lieu d'un « drame familial », alors de l'épouse du seigneur assassina ce dernier d'un coup de hache. La justice la condamna au bûcher
Eygaliers  (104 h)

https://www.eygaliers.fr/
Pas d'emblème pour le village.
Bellecombe-Tarendol (75 h)
Pas d'emblème pour le village. Il y a trois terres ou seigneuries : Bellecombe, Pennafort, Tarandol
Sainte-Euphémie-sur-Ouvèze (70 h)
Pas d'emblème pour le village. La commune est nommée en l'honneur d'Euphémie de Chalcédoine.
La Rochette-du-Buis  (72 h)
Pas d'emblème pour le village.
Bésignan  (82 h)

d'azur au lion d'argent
Avant 1790, Bésignan était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse du diocèse de Sisteron
C'était en outre un fief de la baronnie de Mévouillon, appartenant dès le XIVe siècle à une famille de son nom, et passée par alliance, moitié aux Pape-Saint-Auban, en 1520, moitié aux D'Autane, en 1584, enfin acquis en 1766 par les Duclaux, qui en étaient encore seigneurs à la Révolution.
En 1790, Bésignan fut compris dans le canton de Sainte-Jalle, mais la réorganisation de l'an VIII l’a fait entrer dans celui du Buis-les-Baronnies
Bénivay-Ollon  (66 h)

Pas d'emblème pour le village. Avant 1790, Bénivay était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse du diocèse de Vaison. Son église, dédiée à saint Antoine, était celle d'un prieuré séculier dont le titulaire était décimateur à Beauvoisin, Bénivay et Ollon.
Avant 1790, Ollon était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse (voir Saint-Jean) du diocèse de Vaison, unie dès le XVIIIe siècle à celles de Beauvoisin et de Bénivay
Rochebrune  (61 h)


Écartelé: au 1er d’azur à la tour ronde d’or crénelée de gueules, au 2e d’argent à la branche d’abricotier fruitée de trois pièces au naturel, posée en bande, au 3e d’argent à la touffe de lavande fleurie au naturel, au 4e d’azur au clocher d’or essoré de gueules.
Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait l’église castrale Saint-André d’Esparron, et l’église de Niciolis (aujourd’hui Saint-Vincent-de-Linceuil). Cette seconde église et les revenus qui y étaient attachés passe à l’abbaye de l'Ile-Barbe en 1245
Montguers  (45 h)

Pas d'emblème pour le village.
Rioms  (26 h)

Pas d'emblème pour le village.
Le Poët-en-Percip  (17 h)
Pas d'emblème pour le village. Ancienne capitale historique des Baronnies.
Résidence de Dame Domina Percipia au Moyen Âge
Les illustrations sont des photographies de l'auteur, d'Armorial ou proviennent des sites indiqués sur la page.