Nice Côte d'Azur 2
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logo de la communauté d'agglomération |
La Communauté d'Agglomération
de Nice - Côte d'Azur, a été créée en 2002.
voir aussi Nice Côte d'Azur 1, Nice Côte d'Azur 3 et Stations du Mercantour. |
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logo de la communauté urbaine. |
Elle s'est transformée en
Communauté Urbaine le 29/12/2008. Rn 2010, elle comportait 27 communes sur 351 km2. |
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logo de la Métropole 2011 |
La
Métropole Nice Côte d’Azur est une structure
intercommunale française mise en place le 31 décembre
2011 et résultant de la fusion de la communauté urbaine
Nice Côte d'Azur (NCA) avec trois communautés de communes
des Alpes-Maritimes:. La Tinée, des stations du Mercantour et de Vésubie-Mercantour ainsi qu'avec la commune de La Tour. En novembre 2012, le conseil municipal de Coaraze vote à l'unanimité pour son départ de la métropole et son intégration à la communauté de communes du pays des Paillons. En mai 2013, les conseils municipaux des communes du Broc et de Gattières votent la dissolution de la communauté de communes Les Coteaux d'Azur à laquelle elles appartiennent et leur entrée dans la métropole Nice Côte d'Azur à compter du 1er janvier 2014. La Métropole NCA regroupe 49 communes et environ 540 000 habitants, sur un territoire d'environ 1 400 km2. Il s'agit de la première métropole fondée en France. |
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logo 2013 |
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logo 2016 http://www.nicecotedazur.org/ |
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logo de la marque 2019 |
Face
à la concurrence internationale des territoires, la
Métropole Nice Côte d’Azur est passée
à l’offensive en lançant une grande
stratégie d’attractivité fédératrice.
Après la création en septembre dernier du Comité
d’Attractivité, la Métropole Nice Côte
d’Azur lance le site web de la marque « Nice Côte d’Azur : Open New Horizons
». Ce nouvel outil disponible dès aujourd’hui va
permettre de faire connaître la démarche
d’attractivité et d’accélérer la
construction du réseau de partenaires et d’ambassadeurs du
territoire qui participent tous les jours à son rayonnement au
local, national et à l’internationale à travers
leurs activités et influence. La démarche d’attractivité engagée par la Métropole Nice Côte d’Azur vise à maintenir les talents et forces vives déjà présentes sur le territoire et qui contribuent à son attractivité mais aussi à capter de nouveaux acteurs à fort potentiels : touristes, entrepreneurs, cadres, étudiants, habitants… afin de favoriser l’implantation de nouvelles activités génératrices d’emplois. |
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Saint-Blaise
(1 019 h) |
de gueules aux deux cierges allumés d'argent passés en sautoir, à la crosse d'or posée en pal, mouvant de la pointe et brochant sur le tout, au chef aussi d'or chargé d'une étoile de huit rais de gueules accostée de deux croisettes d'azur Les armes furent adopées en 1960. Les chandelles rapellent la dévotion à Saint Blaise; la crosse est un symbole de la juridiction des abbés de saint Pons; l'étoile provient des armes de Grimaldi de Beuil; et les croix se réferent au fait que Saint-Blaise vivait en Cappadoce. |
"Villa Sancti Blasii" cité en 1075. Ce fut de tout temps une seigneurie de l'abbaye de Saint-Pons.
Mentionné comme "lieu inhabité" en 1461; repeuplé par acte d'habitation en 1607 de Mgr Louis Grimaldi de Beuil, abbé commendataire de Saint-Pons, qui lança son opération avec une précision digne d'un promoteur contemporain. |
La Roquette-sur-Var
(940 h) https://laroquettesurvar.fr/ |
d'or au mont de sinople issant d'ondes d'azur mouvant de la pointe, chargé de deux clefs passées en sautoir, celle de dextre d'or, celle de senestre d'argent, surmonté d'une aigle bicéphale de sable |
Rochetta cité en 1028.
La seigneurie changea souvent de mains depuis les Bérenger au 13ème; elle passa notamment aux Lascaris (16ème), aux Laugier de Nice (17ème) pour revenir en 1777 aux Lascaris (branche de Castellar) en faveur de qui elle fut érigée en marquisat. Il y avait un gué sur le Var que commandait La Roquette (bac avec péage au 13ème). |
Ancien hameau de La Roquette-sur-Var dont il a partagé l'histoire.
Erection en commune en 1867, par séparation de La Roquette-sur-Var, appelée alors La Roquette-Saint-Martin. |
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Drapeau et bannière de St Martin du Var. | ||
d'azur aux quatre tours d'argent ordonnées en sautoir, maçonnées de sable, accompagnées en coeur d'une comète de seize rais et caudée de deux pièces d'or Les armoiries du village dérivent de celles des Chabaud, seigneurs de Tourette D’or à la comète d’azur chargé d’un château d’argent La présence de cette étoile, sur le blason des Chabaud déjà, fait référence au passage de la comète de Halley (à remarquer que celle-ci comporte deux queues) au début du XIIIe s.; mais une comète étant considérée, à cette époque, comme un mauvais présage, elle a été remplacée par les Chabaud par cette fameuse étoile à 16 rayons qui guida les rois mages vers Bethléem, selon l'Évangile. |
Castrum de Torretis cité au 11ème.
Le château fort de Revel, au sud, est mentionné en 999 : ancien fief érigé en comté par la Savoie dont est issue la famille Thaon de Revel. Occupation ligure, puis romaine. Le premier seigneur était de la lignée seigneuriale de Nice (11ème); la seigneurie passa aux Chabaud (13ème) puis au 17ème, par mariage, aux Canubio de Torrisella avec érection en comté. S'appelait Tourrettes-lès-Nice de 1860 à 1900. Jadis importante culture du blé. |
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Le drapeau municipal présente les armoiries du village surmonté du nom sur un fond jaune. |
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Levens
(4 738 h) |
parti : au premier de gueules à la hallebarde d'or entrelacée d'un listel du même chargé de l'inscription de sable : LIBERTAS 1621, au second d'azur à la champagne cousue de sable soutenant un coq de gueules sur un rocher d'or surmonté d'un soleil du même mouvant de l'angle senestre du champ. Adopté le 19 mai 1937. Une version sans soleil existe aussi dans le village sur le panneau des rues. |
Levens, qui aurait succédé
à un oppidum ligure, est cité sous sa forme actuelle au
11ème.
Seigneurie des Riquier au 13ème, puis des Grimaldi au 14ème. En 1586, les habitants limitèrent, par transaction, les droits du seigneur et acquirent leur indépendance. Lors de la fête patronale, une tradition veut qu'on se rende en farandole sur l'emplacement du château et que chacun pose le pied sur une pierre, le "boutau", en symbole de libération. Levens fut érigé en comté en 1671, et en 1700, par décision du duc de Savoie, la communauté des habitants reçut le fief et la juridiction, devenant ainsi son propre seigneur. Berceau de la famille de Masséna. |
Duranus
(140 h) |
Duranus-Rocasparvièra : Tranché d'azur et de gueules, le premier chargé d'une tour d'argent, le second d'une coquille d'or ; à la bande d'argent brochant sur le tout. Les armoiries de Duranus ont une particularité c'est quelles résume assez bien l'histoire du village. La tour d'argent évoque en effet le passé de Duranus lorsque ce village était encore centré autour de la forteresse de Roccasparviera, la coquille d'or symbolisant saint Michel permet de nous renseigner sur le patron protecteur des lieux, et enfin la bande d'argent symbolise la Vésubie qui coule au pied du village. Blason photographié dans le village avec couleurs inversées |
Duranus apparaît en 1679 ; il relevait
de la communauté médiévale de Roccasparviera au
12ème (signifiant Rocher de l'Epervier).
Une troupe révolutionnaire en 1793 fut précipitée dans la Vésubie du haut d'une falaise, appelée depuis "Saut-des-Français". |
Aspremont
(2 187 h) |
"Aspermun" cité en 1062.
Le village primitif situé sur la hauteur de Villevieille, "descendit" sur son site actuel. Fief des comtes de Provence en 1252, passa successivement aux Châteauneuf, Chabaud, Marquesan, Borriglione. |
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Castagniers (1 616 h)
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Commune créée en 1874 par distraction de celle d'Aspremont, avec laquelle son histoire se confond . | |
d'or au mont de gueules sommé d'un coq du même |
Territoire détaché de celui d'Aspremont en 1874 pour former une commune autonome.
Son histoire suivit celle d'Aspremont Commune en expansion continue. |
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Carros (12 329 h)
L' ancien logo était un travail basé sur le blason du village. |
d'azur à trois tours d'argent maçonnées de sable, celle du milieu plus grosse que les deux autres, accompagnées en chef de deux carreaux d'or. Sur ce blason photographié dans le village, ce sont les tours qui sont de couleur or et les carreaux d'argent. Les armes sont parlantes par les carreaux (Carros) que l'on y trouve. |
Occupation préhistorique et romaine. "Castrum de Carrosio" mentionné en 1156.
Seigneurie des Blacas au 13ème, passée par mariage aux Durand au 14ème, coseigneurs avec les Giraud jusqu'au 17ème et les Ronciglioni au 15ème ; redevenue fief des Blacas en 1668. Carros fut plusieurs fois détruit au cours des guerres, notamment en 1704 par les troupes du duc de Savoie. En rive droite du Var, le village de Carros, qui faisait partie de l'arrondissement de Grasse, a toujours été territoire de Provence, et contrairement à beaucoup d'autres villages dans la même position géographique frontalière, il ne sera jamais intégré au comté de Nice. En 1860, Carros rejoint le nouveau département des Alpes Maritimes et va connaître une immigration italienne durant le reste du XIXème siècle et le début du XXème, liée aux développement des cultures maraîchères. |
Drapeau du village. |
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Les blasons proviennent des sites Gaso , Armorial Niçois , des sites indiqués sur la page ou sont des photographies de l'auteur.
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