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Pays d'Aubagne et de l'Etoile (Lou
Païs de l'Estello es dou Merlancoun)
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https://www.ampmetropole.fr/ |
Aix-Marseille-Provence Métropole a été créée le 1er janvier 2016.
Elle est issue de la fusion de six intercommunalités (MPM, Pays
d'Aix, Agglopole Provence, Pays d'Aubagne et de l'Etoile, SAN Ouest
Provence et Pays de Martigues) afin de mettre fin à la
fragmentation administrative du territoire.
La métropole d'Aix-Marseille-Provence compte 92 communes pour
1,8 million d'habitants, soit 93 % de la population des
Bouches-du-Rhône et 37 % de la population de l'ensemble de la
région Provence-Alpes-Côte d'Azur. |
On retrouve dans le logo des pictogrammes représentants " le ciel, les
espaces de nature, les reliefs, la mer... sans oublier le soleil, qui
se glisse comme un clin d'oeil dans la typographie ". Ce dernier est en
effet niché dans le X de Aix. Déclinés dans quatre couleurs, bleu et
vert pastel, orange et bleu, ces pictogrammes " évoquent la gamme
colorielle caractéristique du territoire ".
Cette identité a été réalisée par
l'agence 2C Comm, basée à Valence dans la Drôme. |
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La
communauté de communes "Lou Païs de l'Estello es
dou Merlancoun" comportait 7 communes.
Elle avait été
créée le 27/12/1993.
Elle a disparu le 01/01/2007 pour rejoindre
la nouvelle communauté d'agglomération de Pays
d'Aubagne et de l'Etoile sauf les communes de Cadolive et de
Gréasque.
La commune de Cadolive a rejoint Pays
d'Aubagne et de l'Etoile le 1er janvier 2009.
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Le Merlançon est un affluent de
l'Huveaune.
L'Etoile est un massif montagneux.
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La
communauté de communes "Lou Païs de l'Estello es
dou Merlancoun" est elle un ratage ?
Trop petite, prise entre les deux monstres
que sont "Marseille Provence Métropole" et
"Communauté d'Agglomération du Pays d'Aix", elle
est transformée en région dortoir pour ses deux
grandes voisines. Créée depuis 10 ans, elle a du
mal à exister.
Elle est traversée par deux
courants contradictoires:
-l'un prône le rattachement
à "Garlaban Huveaune Ste Beaume" ce qui permet de
récupérer le "village gaulois" de Gardanne,
-l'autre prône la dissolution et
le rattachement à l'un ou l'autre des deux voisins: MPM et
CAPA.
Un seul point d'accord pour tous les hommes
politiques de droite comme de gauche: la disparition de la
communauté de commune de l'Etoile et du Merlançon.
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d'or à quatre coeurs de gueules
apointés en sautoir
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Au
12ème, Pierre Brémond, seigneur d'Auriol, fit
construire un château au lieu-dit De Podio Pino et en devint
le seigneur (objet de contestations avec l'abbaye de Saint-Victor); ses
descendants, les Esparron, en conservèrent les droits
jusqu'au début 15ème. Le château fut
détruit à la fin 16ème par le duc
d'Epernon.
Fut appelé aussi Peypin
lès Auriol.
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de gueules à trois tours d'or,
posées 1 et 2.
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"Destrossa"
cité en 1400. Seigneurie de l'abbaye de Saint-Victor au
11ème.
Simple hameau de Peypin,
érigé en commune indépendante en 1870.
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L'écusson actuel semble
présenter une présentation plutôt 2 et
1 pour les tours.
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de gueules à un lion rampant
d'argent
En 1878, Alfred Saurel, fait figurer
l'illustration ci-dessous dans son "Dictionnaire des villes, villages
et hameaux du département des Bouches-du-Rhône"
Ces armes sont celles des Sabran, qui
possédèrent au XIVe siècle une partie
de Belcodène.
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Occupation
préhistorique et gallo-romaine. Première mention
au 9ème. Co-seigneuries des vicomtes de Marseille et des
abbayes de Saint-Victor et de Montmajour au 11ème, des
Sabran au 14ème auxquels succédèrent
les Brancas (16ème) et les Cabre-Roquevaire
(18ème). Lieu inhabité en 1550. |
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d'argent à la branche d'olivier
de sable, le chef d'azur écrit CADO OULIVO VEN A BEN en
lettres de sables
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Anciennement
hameau de Saint-Savournin, érigé en commune en
1900. S'appelait jusqu'en 1820 le hameau des Olives (Enco d'Olive :
chez Olive). La devise provençale de la commune constitue un
jeu de mot : "Cado oulivo vèna ben" (chaque olive
réussit bien).
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d'or à quatre pals de gueules; au
chef d'or à un loriot de sinople perché sur une
branche du même, accosté de deux B de sable.
Le champs rappelle l'appartenance
à la Provence, le chef l'ancien rattachement à
Auriol.
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Commune
créée en 1880 par détachement de la
commune d'Auriol.
S'appela La Bourine jusqu'au 26 mai 1909
où l'appellation de La Bouilladisse fut prise en
référence à la source de la Foux qui
sort en bouillonnant et qui est appelée Bouilladoux.
L’étymologie de La Bourine viendrait de lièvre : pays de lièvre (leborina).
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de gueules à un lion d'argent,
coupé d'argent à une croix d'azur (Armorial 1696
tome 1 page 468)
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Pendant le Moyen
Age, Gréasque est qualifié de villa, c'est
à dire de village sans château ni rempart.
En 1028, Archimbert et son épouse
Maiamburge donnent à l'abbaye de St Victor un mas
situé dans le quartier de Grazasca.
Au XIè siècle,
Gréasque passa des mains de St Victor entre celles des
seigneurs séculiers, les d'Ollières
En 1765, il comportait 126 habitants.
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de gueules à un lion d'argent,
coupé d'argent à un griffon de gueules (De Bresc
1866)
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coupés, au 1 de gueules au lion
d'or, au 2 d'argent au griffon des gueules.
Le lion figure très courante en
Héraldique, représente la force et la puissance.
Un griffon se compose de la partie
supérieure du corps de l'aigle (tête, cou, ailes
et serres), de l'arrière train du lion et de la queue du
léopard. C'est un animal fantastique
représenté depuis l'antiquité, qui
symbolise ordinairement le bien et le mal. Ni les seigneurs d'Agoult,
d'Ollières, ni Castellane - Majastre, ne portaient un lion
ou un griffon dans leur blason.
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Bannière du village brodé main, nom du village en trapunto.
L'ensemble est matelassé à la main. |
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d'or à un
arbre de sinople, accosté de deux lettres S et S de sable.
(Armorial 1696 tome 2 page 1580)
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Le 23 mai 1138,
Aldegérius et son frère Boson vendent
à St Victor tous les droits qu'ils possèdent sur
le château de St Savournin. Par ces dons, l'abbaye de St
Victor obtient une part importante de la seigneurie de St Savournin.
Avait pour nom "Sanctus Saturninus"
En juillet 1553, les héritiers
des Agoult, des seigneurs d'Auriol et les abbés de St Victor
vendent leurs droits à Balthazar de Catin Vassal,
sénéchal de Marseille .
Le charbon à St Savournin est du
lignite, roche combustible qui donne moins de chaleur que la houille.
Il est exploité depuis le début du XVIII
éme siècle.
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blason photographié dans le
village: présence du t de Saint
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