Moyenne
Durance
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1992:: Création du District de Moyenne Durance. |
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logo 2001- 2009 logo 2009 -2016 |
2001: Remplacement par la Communauté de Communes de la Moyenne Durance . Avec 13 000 habitants, elle représente 10% de la population des Alpes de Haute Provence. |
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logo janvier 2017-juin 2018 5 traits de couleur pour les 5 communautés de communes réunies logo juin 2018- agence de communication Oyopi "Dynamique, moderne, innovante et fédératrice, telles sont les valeurs que veut véhiculer Provence Alpes Agglomération." La goutte d'eau évoque l'eau présente sur le territoire. https://www..dici.fr/ |
2017: Fusion avec les communautés de communes Asse Bléone Verdon, Duyes et Bléone, Haute Bléone et du Pays de Seyne. La nouvelle structure intercommunale porte le nom de Provence Alpes Agglomération. L'agglomération regroupe 46 communes et 47 278 habitants. |
https://www.provencealpesagglo.fr/ |
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d'or au château de deux hautes tours pavillonnées jointes par un entre-mur, le tout de sable, maçonné et ajouré d'argent, accosté des lettres C et A capitales aussi de sable. A gauche dessin original de l'Armorial Général de 1696, à droite le dessin de l'Armorial des communes de Provence de Bresc en 1866. |
"Castrum
Arnulphum" cité
en 1182. L'ancien village s'élevait au 12ème sur
l'actuelle colline de Saint-Jean. Seigneurie des d'Agoult, des
Glandevez, puis des Foresta.
Une conférence, en vue de pacifier la région, y fut tenue en 1591 entre les ducs de Lavalette et de Lesdiguières. Le village pris le nom de La Roche-Arnoux à la Révolution. L’établissement du chemin de fer, du pont sur la
Durance qui se substitua au système des bacs inscrivent
Château-Arnoux dans l’ère industrielle. La commune a pris le nom de Château-Arnoux-Saint-Auban en 1991. |
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Dessin actuel dans le village. |
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Devant la mairie, les drapeaux de l'intercommunalité et de la commune entourent le drapeau français en berne (photographie prise le 14 avril 2005 soit peu de temps après le décès de JeanPaul II) |
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Peyruis (2 858 h)
http://www.peyruis.fr/ |
C'est
à l'époque
du II et IIIe siècle que l'on fait remonter les origines de
Peyruis dont le nom viendrait de Petronius-Ruit à cause
d'une
bataille dans laquelle un consul romain C. Petronius aurait
été tué.
"Petroxium" cité en 1068. La seigneurie était aux Forbin, puis passa aux Pilles. Peyruis forma une baronnie avec Augès et Piousin. Bourg agricole prospère dont la population est en accroissement régulier. |
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Sur le drapeau à fond jaune, le bleu du blason tend vers le violet. |
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Malijai, cité au
13ème,
était primitivement situé sur la rive gauche de
la
Bléone, sous le vocable de Bézaudun; vers le
12ème, le village s'établit sur la rive droite et
prit le
nom actuel (du latin "male jactus", mal situé).
Napoléon s'arrêta au château le 4 mars 1815, au retour de l'Île d'Elbe. Inondations en 1826 et 1860. Seigneurie des Noguier. |
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Définition de Bresc: de sinople à une chaîne d'or accostée de deux canettes d'argent |
Rattachement de la commune de Chénerille (Chéneryos en provençal) en 1971; celle-ci, citée en 1193, fut dépeuplée par la peste de 1629, puis abandonnée. | |
Dessin de l'original de l'Armorial Général: de sinople à un chêne d'or accostée de deux canettes d'argent (tome Provence II p 1947) |
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Volonne (1 650 h)
Voulouno https://www.mairie-volonne.fr/ |
de gueules aux deux lettres V capitales d'or entrelacées, dont l'une est renversée, accompagnées en coeur d'une croisette d'argent de gueules, à deux lettres V et V en forme de deux sautoirs alaisés et entrelacés d'or, enfermant une croisette d'argent posée en coeur (description de l'Armorial Général) |
Occupation romaine.
Cité en 1030.
Relevait de la vicomte de Reillanne; passa aux Baux, aux d'Agoult, aux
Valavoire et aux Maurel.
Saccages et incendie au cours des guerres de Religion. |
de gueules à la tour carrée d'argent, maçonnée de sable, mouvante du flanc dextre, sur laquelle est arboré un étendard d'or, et une échelle aussi d'argent posée contre la tour à senestre (tome Provence II p 1327) |
Présence
romaine. Le nom vient de "Scala", échelle (cité
en 1060),
en raison du site escarpé du village primitif au nord, au
lieu
dit Vieille-Ville ; l'abbé Maurel (1873) estime que
l'étymologie viendrait "d'escale", en raison des bateaux
descendant la Durance qui faisaient escale ici de nuit.
Ancien monastère bénédictin. Troubles au cours des guerres de Religion : engagement en 1562, prise de l'Escale en 1568 par les protestants, reprise par les troupes royalistes en 1572. Eglise saccagée à la Révolution. |
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Mallefougasse-Augès
(327 h)
Marofougasso |
Cité en 1274
"Malafocacha".
Possession des évêques de Sisteron. La
communauté
médiévale de Consonoves lui fut
rattachée en 1807,
et la commune d'Augès en 1975.
304 habitants en 1851. |
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Ganagobie (96 h)
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La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 998 (cella Ganagobiacensis).
Le prieuré est fondé à la fin du Xe
siècle. Il appartient aux évêques de Sisteron, puis
à l’abbaye de Cluny. Ce monastère conserve une
grande importance jusqu’au XVe siècle : il abrite un temps
les reliques de saint Honorat d'Arles, transportées de
l’abbaye de Lérins. |
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Les illustrations sont des
photographies de l'auteur, de l'Armorial Général, des Etudes Héraldiques, ou des sites indiqués sur la page.
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